Ainsi le COVID 19, démarré fin 2019 à Wuhan (Chine), s’est il inscrit en 2020 dans la vie quotidienne de la planète.
Et en 2021 : 2 + 0 + 2 + 1 = en année universelle 5, plus que jamais.
Ce nombre indique l’énergie, le changement d’énergie, les échanges, l’international…Le dénouement serait-il proche ?
Rappelons les paramètres de l’équation de base :
2020 : année universelle 4 / 22, comme Wuhan : la Plaie de Chine
– COVID = 26 : relève de la Loi du Vivant – confirmation de son origine animale – mais surtout d’un Cycle cosmique de transformation.
– 19 : 1 + 9 : 10 : 1 / 19 : l’affirmation de l’unité du monde dans la renaissance, pour en finir avec cette pandémie !
Car :
– COVID + 19 = 26 + 19 = 45, Guéoulah la rédemption, le salut (collectif). (*)
– COVID 19 + 22 : 45 + 22 : 67 : Nagouah, choc – Sibah, la cause (de la plaie), Avhon, son diagnostic – Iyoun, l’anéantissement.
– COVID 19 + 4 : 45 + 4 : 49 : El Haï, Dieu vivant (sa Loi) – Hokiah, confirmer – Holéh, malade – Hégoulah, diaspora (l’international) – Mat, vaciller, Echec et Mat (pour l’Occident).
Vous l’avez compris, mais pas encore accepté, « un mal pour un bien » ! L’Alchimie de remise en cause naturelle de notre système global.

2021 : année universelle 5, la Mutation mondiale
D’abord à la question initiale, le COVID 19 est-il la revanche du vivant (?) nous pouvons maintenant apporter une nuance de taille, celle de son auto-régulation dont notre société humaine fait partie. Bien sûr, notre trop grande proximité avec l’animal s’est retourné contre nous, il fallait s’y attendre un jour. Et cela va continuer dans cette causalité-là.
Mais les changements structurels induits par cette crise s’avèrent trop importants pour ne pas mettre en balance un jour les pertes et les profits qui nous ont été imposés. En gros, une catalysation de la mondialisation, en particulier par l’accélération du numérique, la fameuse disruption. Indispensable pour notre devenir collectif dans l’Ecologie, la Conquête spatiale, etc.
L’achèvement du COVID 19 est désormais annoncé, mais par étapes :
COVID 19 + 2021 : 45 + 5 : 50 : Atam, sceller – Bayovel, dans le Jubilé – Yizbehou-rébah, il sacrifie un sacrifice.
Rappelons la loi biblique visiblement oubliée (même en Israël ?) de la Chémita, la mise en jachère des terres tous les 50 ans.
« Tu compteras chez toi sept années Chabbatiques, sept fois sept années, de sorte que la période de ces sept années Chabbatiques te feras quarante-neuf ans…Vous sanctifierez cette cinquantième année, en proclamant, dans le pays, la liberté pour tous ceux qui l’habitent. » (Lévitique 25 – 8,10)
« La Paracha de Behar contient les commandements relatifs à l’année Chabbatique – la Chémita – et au Yovel, le Jubilé. »
La Plaie mondiale de Chine avait été annoncée en 2020 par son 4 / 22 induit. Si l’on revient 49 ans en arrière, cela nous ramène en 1971, sans signification précise. Il y a des cycles de régénération auxquelles participent les épidémies. La tradition chinoise parle de cycles de 60 années.

Par contre, il faut remonter à 1939, une autre année universelle en 4 / 22, pour revivre une crise d’une telle portée mondiale :
– soit 2019 – 1939 = 80 ans : Guigoul haba, prochaine rotation – Yessod, Sephira Fondement – Molad, nouvelle lune, naissance : renouvellement.
– soit 2020 – 1939 = 81 ans : Dikaon, dépression – Himol, circoncire (sacrifice du retranchement pour une nouvelle alliance) – Diguél hagueoulah, bannière de la Délivrance (confirmé, voir supra).
Alors, actons le Code que nous déchiffrons, et tâchons d’y voir plus clair.
« Le ‘Hassidisme explique que les années Chabbatiques et le Jubilé symbolisent des niveaux spirituels du service de D-ieu :
La Chémita illustre la cessation d’activité, l’effacement de soi. La personne a conscience de son existence, mais s’annule, tout de même, volontairement devant D-ieu.
Le Yovel symbolise la liberté, un degré plus élevé, celui de l’absence de toutes les limites. Ce niveau sera atteint pendant l’ère Messianique.
Ceci explique pourquoi la Chemita doit être appliquée aujourd’hui, alors que la Mitsva du Yovel n’a été véritablement observée uniquement pendant la première période du Temple. Ce niveau le plus élevé de spiritualité ne pouvait être atteint qu’à une époque où la Présence Divine était manifeste.
L’époque du second Temple était une période médiane. La Présence Divine illuminait le monde, mais d’une façon moins évidente. C’est pourquoi nous comptions le Jubilé, bien que la Mitsva du Jubilé n’était pas observée.
Aujourd’hui, en exil, notre service de D-ieu consiste à accepter le joug Divin et à annuler notre ego. Néanmoins, dans un certain sens, ceci a un avantage, car cela permet de révéler l’essence de l’être. Cet état d’esprit prépare à l’année Chabbatique éternelle – l’époque Messianique. » (*)
(Likouté Si’hoth Vol. VII – Rabbi de Loubavitch)
– cf. http://www.judaismenord.com/lesensduyovel

Bien entendu, à travers cette histoire biblique ancienne, nous tâchons de comprendre la loi cosmique que nous subissons tous à travers le COVID 19, comme la marque d’un certain renouvellement cellulaire de notre époque.
Alors, si la tradition hébraïque indique que le sacrifice du Jubilé par le bouc émissaire devant avoir lieu le Septième mois du Calendrier, cela nous mène à Nissan et Pessah (Pâques) 5781, soit mars-avril 2021, comme la réalisation principielle du COVID 19 ; mais pas encore sa fin. Ses variantes et autres mutations en témoignent, au rythme de leurs flux et reflux, et de nos (dé)confinements. La notion de sacrifice se traduit ici dans les différents vaccins lancés fin 2020 et tout au long de 2021 dans le monde.
Comme tout doit se confirmer dans la durée, le saut qualitatif menant à la fin graduelle de notre épreuve se ferait pour Kippour 5782, soit Septembre 2021. Le début de l’année 6 universelle en 2022 (2 + 0 + 2 + 2 : 6) commencera en octobre 2021, marquée par le retour à l’harmonie grâce à la responsabilité collective mise en place, la prise de conscience morale ayant été effectuée.
Mais nous ne serions pas encore au bout de nos peines. Une épidémie dure en moyenne 3 années. Seul le temps permet que tout soit consommé. Notre projection structurelle s’établirait ainsi :
– 2021 (année universelle 5) : la vaccination mondiale – 2022 (année universelle 6): la maîtrise de l’épidémie – 2023 (année universelle 7) : le pari du retour à la normale – 2024 (année universelle 8) : solde de la dette karmique – fin du cycle de transformation mondiale : ce qui se sème en année 4 (2020), se récolte en année 8. A ce moment-là, nous pourrons enfin faire un bilan complet. Sur fond d’un nouvel ordre économique européen ou mondial (comme après 1945) ?
Le virus restera-t-il avec nous, pour « toujours », comme l’annonce l’OMS ? D’autres vagues d’autres virus seront à craindre dans l’avenir, et beaucoup plus violents, s’attaquant cette fois non plus aux faibles mais à la surpopulation ; La Chine s’y prépare déjà.
Dans une société marquée par le complotisme, le seul « hold up » existant reste celui de l’Ignorance inscrite dans l’immédiateté à cor et à cri. Le Savoir et ses élites ont tout bonnement bradé et oublié la Connaissance et la Sagesse. Et même une partie du bon sens, ce qui s’avère plus grave que la pandémie elle-même. Quant aux religions…vous les entendez à ce sujet ? Quelle honte !
Qu’importe, la Chine s’impose, et s’imposera comme le nouveau marqueur (Shin ש) de la sphère spirituelle opérative des temps à venir par sa culture dite confucéenne, à l’aune de ses propres contradictions communistes et capitalistes. En conclusion du COVID 19 : « Chassez le naturel (dans tous les sens du terme), il reviendra au galop. »

La Loi, rien que la Loi. Sans la Loi, point de salut.
Certains pensent qu’elle demeure le but de la vie. J’y souscris.
« L’homme ne vivra pas de pain seulement… » (Matthieu 4,4)
Bonne année dans la Loi de 2021.
(Photos : Wikipédia)